Notre cerveau fixe notre poids
Le cerveau serait l'unique maître de notre poids. Inutile de mettre toute notre volonté à suivre des régimes. C'est lui qui décide et règle l'organisme sur un poids de référence, estime Sandra Aamodt, neurobiologiste américaine.
Sucre, un poison amère
Chercheur, pédiatre et endocrinologue, le docteur Robert Lustig a engagé une lutte musclée contre les lobbies agro-alimentaires, tout spécialement ceux du sucre. Il y...
Un verre de vin contre l’infarctus
Le vin, meilleur rempart contre l’infarctus ? C’est ce que l’on a nommé le French Paradox. Retour sur l’explication de ce curieux phénomène.
Les maladies coronariennes...
L’alcool augmente les risques de cancer
Une étude britannique parue dans la revue scientifique Nature met en évidence une action délétère de l'alcool sur les cellules, ce qui faciliterait les risques de cancer.
Retour sur la méthode glycémique de Montignac
La méthode glycémique promue par le célèbre Michel Montignac est toujours en vogue. Retour sur les principes de ce régime et ses limites.
La méthode...
L’alimentation, facteur de migraine
Cet article fait partie du top ten des articles les plus lus en 2017.
La migraine est un mal banal mais très handicapant. L'alimentation est...
Les zoonoses, fléau pour les hommes
On oublie que les zoonoses, contaminations entre animaux et humaines, sont l'une des sources majeures de maladies graves. De l'importance de retrouver des règles sanitaires et des règles de protection de l'environnement.
Bisphénol B, une substance très préoccupante
Après le bisphénol A, voici le bisphénol B, lui aussi perturbateur endocrinien, et tout aussi préoccupant que le A.
Lutter contre la dénutrition en cas de cancer
Mieux comprendre la dénutrition des patients atteints de cancer et mettre au point des aliments optimisés pour redonner le plaisir des repas des malades. Telle est l'ambition du projet Onco-Nutribiota, mené par une équipe scientifique à Lyon.
L’obésité, le cerveau et les habitudes
Une étude de l’Inrae en 2023 a montré que les habitudes alimentaires modifiaient le fonctionnement du cerveau et pouvaient favoriser l'obésité.